Un soleil au zénith. Une chaleur estivale. Un bord de mer glamour. Georg Lux, le directeur de la création de la Maison LEONARD, est inspiré par l’atmosphère chaude et sensuelle de la Côte d’Azur. Comme celle ressentie dans le film français «La Piscine» de Jacques Deray.

L’héroïne qu’il habille est une fille libre qui évolue en robe évanescente et ne s’encombre pas de conventions. Elle aborde les tendances avec désinvolture, se déplace avec nonchalance à l’ombre des pins parasols, aux abords d’une villa blanche, sur les hauteurs de Saint- Tropez. Du matin où les rayons rasent le panorama, à midi où ils sont les plus puissants jusqu’au soir où les teintes dorées font le show, les maisonsauxformesorganiqueset modernes plantent le décor de cette collection qui s’inscrit dans une parfaite intemporalité. « J’admire le travail de Jacques Couëlle, explique Georg Lux. Avec ses «maisons-

paysages», celui qu’on surnommait «l’architecte des milliardaires» aimait que ses constructions s’intègrent parfaitement dans leur environnement naturel ». Comme les tenues tout en légèreté de cette saison printemps-été 2024 qui se fondent dans la torpeur d’un été caniculaire.

Tout en sensualité, la veste de costume blanc qui ouvre le défilé se porte à même la peau. Comme l’avait sacralisée Bianca Jagger lors de son mariage avec Mick. Évidemment, les imprimés fleuris, signature de la griffe, sont de la partie. Un vrai signe de joie de vivre. En plus de ces iconiques, le style LEONARD sait se renouveler : pantalons fluides et évasés, blouses amples et poétiques, ponchos, escarpins mutins et sac déjà culte, les nouvelles propositions sont légion. Une panoplie parfaite pour nager dans le bonheur… et profiter du soleil de la Méditerranée.